vendredi 30 juillet 2010
Paros, c'est plus calme
jeudi 29 juillet 2010
Ras le bol de la foule
Je ne sais pas si vous êtes comme moi, mais lorsque je me retrouve avec trop de monde
( en plus des touristes qui ne débarquent des gros paquebots que pour acheter des co....ries made in ailleurs) je craque.
quittons Santorin , qui est tout de même spectaculaire, il faut le reconnaitre, pour des iles plus calme et plus authentiques; mettons les voiles (dans tous les sens du terme)
( en plus des touristes qui ne débarquent des gros paquebots que pour acheter des co....ries made in ailleurs) je craque.
quittons Santorin , qui est tout de même spectaculaire, il faut le reconnaitre, pour des iles plus calme et plus authentiques; mettons les voiles (dans tous les sens du terme)
géologie
de jour
mardi 20 juillet 2010
Carte postale
lundi 19 juillet 2010
Santorin 2
Santorin et sa caldera impressionante
Début de la balade dans les cyclades par Santorin dont la majeure partie fut détruite par l'explosion de son volcan.
Je n'ose imaginer la puissance de l'explosion, des morceaux seront retrouvés en Egypte. Lorsque l'on arrive par la mer, on se retrouve au pied d'immenses falaises dont ont peux distinguer les strates et les maisons construites juste au bord.
Nous verrons plus loin qu'il y a surtout des restos et des boutiques pour touristes.
On y rencontre aussi d'énormes bateaux de croisiére qui font le tour de la caldera puis débarquent leurs passagers pour quelques heures, le temps qu'ils dépensent leur argent en souvenirs made in china.
Je n'ose imaginer la puissance de l'explosion, des morceaux seront retrouvés en Egypte. Lorsque l'on arrive par la mer, on se retrouve au pied d'immenses falaises dont ont peux distinguer les strates et les maisons construites juste au bord.
Nous verrons plus loin qu'il y a surtout des restos et des boutiques pour touristes.
On y rencontre aussi d'énormes bateaux de croisiére qui font le tour de la caldera puis débarquent leurs passagers pour quelques heures, le temps qu'ils dépensent leur argent en souvenirs made in china.
vendredi 2 juillet 2010
Juste la vérité; est-ce trop demander ?
LA JUSTICE RELANCE L'ENQUÊTE SUR LE NAUFRAGE DU BUGALED BREIZH
RENNES (Reuters) - La cour d'appel de Rennes a ordonné la relance de l'enquête sur le naufrage du chalutier breton Bugaled Breizh en janvier 2004, toujours inexpliqué, qui a causé la mort de cinq marins.
Deux juges d'instruction de Nantes ont été désignés pour enquêter sur l'hypothèse de l'implication d'un sous-marin d'attaque américain, évoquée dans un rapport d'expertise.
"La cour ordonne la poursuite de l'information judiciaire dans le but d'identifier le sous-marin en cause dans le naufrage", a déclaré à l'audience de délibéré Jean Bartholin, le président de la chambre d'instruction de la cour d'appel, en s'adressant aux familles des victimes.
Le chalutier avait sombré en quelques instants la veille d'un exercice des forces maritimes de l'Otan en Manche et jour du Thursday War, des manoeuvres militaires britanniques.
Selon le rapport d'expertise, un sous-marin américain aurait pu se trouver dans la zone du naufrage pour surveiller le transbordement dans le port de Cherbourg de matières nucléaires vitrifiées à destination du Japon.
Un transbordement semblable, programmé quelques mois plus tard aux Etats-Unis à destination de la France, expliquerait selon l'expert cette éventuelle surveillance pour évaluer la "justesse des règles sécuritaires" et "les risques d'agression" au cours de la manoeuvre.
Le parquet et un premier juge d'instruction avaient repoussé cette hypothèse et plutôt privilégié celle d'une "croche" du chalut dans les fonds marins.
Les familles de victimes ont cependant obtenu une relance du dossier de la cour d'appel, qui a ordonné l'expertise à l'origine de l'hypothèse du sous-marin américain.
La cour avait alors ordonné dans un premier temps l'expertise à l'origine de l'hypothèse du sous-marin américain.
Robert Bouguéon, président du comité des pêches du Guilvinec et partie civile dans ce dossier, s'est dit "mitigé" à l'issue du délibéré.
"La poursuite des investigations est une bonne chose mais les juges nantais n'auront pas forcément tous les éléments pour mener leur enquête", a-t-il dit, déplorant que la question de l'identification des radeaux de survie retrouvés sur les lieux du naufrage n'ait pas été retenue par la cour.
Pierre-Henri Allain, édité par Yves Clarisse
© 2010 Reuters Limited. Click for Restrictions.
RENNES (Reuters) - La cour d'appel de Rennes a ordonné la relance de l'enquête sur le naufrage du chalutier breton Bugaled Breizh en janvier 2004, toujours inexpliqué, qui a causé la mort de cinq marins.
Deux juges d'instruction de Nantes ont été désignés pour enquêter sur l'hypothèse de l'implication d'un sous-marin d'attaque américain, évoquée dans un rapport d'expertise.
"La cour ordonne la poursuite de l'information judiciaire dans le but d'identifier le sous-marin en cause dans le naufrage", a déclaré à l'audience de délibéré Jean Bartholin, le président de la chambre d'instruction de la cour d'appel, en s'adressant aux familles des victimes.
Le chalutier avait sombré en quelques instants la veille d'un exercice des forces maritimes de l'Otan en Manche et jour du Thursday War, des manoeuvres militaires britanniques.
Selon le rapport d'expertise, un sous-marin américain aurait pu se trouver dans la zone du naufrage pour surveiller le transbordement dans le port de Cherbourg de matières nucléaires vitrifiées à destination du Japon.
Un transbordement semblable, programmé quelques mois plus tard aux Etats-Unis à destination de la France, expliquerait selon l'expert cette éventuelle surveillance pour évaluer la "justesse des règles sécuritaires" et "les risques d'agression" au cours de la manoeuvre.
Le parquet et un premier juge d'instruction avaient repoussé cette hypothèse et plutôt privilégié celle d'une "croche" du chalut dans les fonds marins.
Les familles de victimes ont cependant obtenu une relance du dossier de la cour d'appel, qui a ordonné l'expertise à l'origine de l'hypothèse du sous-marin américain.
La cour avait alors ordonné dans un premier temps l'expertise à l'origine de l'hypothèse du sous-marin américain.
Robert Bouguéon, président du comité des pêches du Guilvinec et partie civile dans ce dossier, s'est dit "mitigé" à l'issue du délibéré.
"La poursuite des investigations est une bonne chose mais les juges nantais n'auront pas forcément tous les éléments pour mener leur enquête", a-t-il dit, déplorant que la question de l'identification des radeaux de survie retrouvés sur les lieux du naufrage n'ait pas été retenue par la cour.
Pierre-Henri Allain, édité par Yves Clarisse
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